Tout d'abord je tiens à vous remercier pour vos commentaires qui m'ont fait chaud au cœur
Ensuite...et bien c'est la reprise. La première semaine a surtout été une semaine de récupération, mais depuis le week-end dernier, comme je me sentais bien ,j'ai attaqué l'entrainement plus sérieusement.
Samedi et dimanche, j'avais fait un peu de course à pied, et du VTT: 1h30 dans les chemins défoncés de la plaine de Francin, ça fait les jambes et les bras!!!
J'ai décidé lundi de m'inscrire à la course des Étangs, à St Félix. Mais je voulais être sûr que j'en étais réellement capable.
Alors hier soir, petite séance de mise dans le rouge: presque 8 kms à vitesse poussée, pour voir si tout tenait la route. Résultat: tout tient (!) et ce matin aucune douleur particulière et récupération parfaite. J'ai couru les 7.7 kms en 35'34'', ce qui fait une moyenne de 13 kms/heure.
Donc, c'est la forme!!! J'avais lu quelque part qu'il fallait beaucoup de temps pour récupérer d'un marathon...ou alors est-ce que je dois faire plus attention?
En tout cas, dimanche je serai à St Félix, sur 15 kms et je vais essayer de faire quelque chose...
A dimanche pour celles et ceux que je verrai à St Félix et à Voglans après la course
mercredi 29 avril 2009
mardi 21 avril 2009
Week end Gwenaël
Bon, je m'y mets...A mon tour de vous faire partager nos week-ends...
Samedi grasse matinée jusqu'à huit heures, pour moi c'est déjà tard ! Achat de nouveaux crampons pour le match, j'ai terminé ma paire la veille à l'entrainement....
Le soir, nous sortons avec des amis au pub pour les 25 ans d'une copine. Évidemment, on y croise des coéquipiers qui me promettent une place sur le banc dès le lendemain comme sanction ! Nous rentrons vers 1h30, fatigués.
Dimanche, lever à 9 heures (de plus en plus tard!), repas chez les beaux-parents, puis direction le stade où nous rencontrons les deuxième de la poule. On ne change pas une équipe qui gagne dixit coach Mehdi. Et comme je n'ai pas participé à la dernière victoire, je me retrouve sur le banc. Pas l'habitude et une confirmation:j'ai horreur de ça. Mais ayant l'esprit d'équipe, j'encourage les collègues, soutient mon remplaçant qui a du mal a bouger son vis-à-vis. Dudu touche du bois. Mi-temps, pas de but, mais on est bien. Je rentre toujours pas, je ronge mon frein. A une demi-heure de la fin, me voilà enfin sur le terrain, latéral gauche pour une fois ! Que de nouveautés ! Sur un coup-franc au milieu de terrain, je demande la balle rapidement et la mets dans le paquet. Un peu trop loin. Mais elle est récupérée et un nouveau centre revient sur Dudu, encore lui, qui marque. Je termine la rencontre stoppeur, avec deux fautes commises et une subie à mon actif. Content d'avoir gagné, mais frustré d'avoir si peu joué. J'ai promis à Mehdi que j'étais pas encore à la retraite.
Ma chérie et moi partons ensuite manger avec des amis puis direction cinéma pour OSS 117 avec Jean Dujardin. Divertissant, truffé de références comme Robin des Bois (avec Errol Flyn hein, pas Costner), Sueurs froides et James Sean Connery Bond évidemment.
Bonne semaine à tous
Samedi grasse matinée jusqu'à huit heures, pour moi c'est déjà tard ! Achat de nouveaux crampons pour le match, j'ai terminé ma paire la veille à l'entrainement....
Le soir, nous sortons avec des amis au pub pour les 25 ans d'une copine. Évidemment, on y croise des coéquipiers qui me promettent une place sur le banc dès le lendemain comme sanction ! Nous rentrons vers 1h30, fatigués.
Dimanche, lever à 9 heures (de plus en plus tard!), repas chez les beaux-parents, puis direction le stade où nous rencontrons les deuxième de la poule. On ne change pas une équipe qui gagne dixit coach Mehdi. Et comme je n'ai pas participé à la dernière victoire, je me retrouve sur le banc. Pas l'habitude et une confirmation:j'ai horreur de ça. Mais ayant l'esprit d'équipe, j'encourage les collègues, soutient mon remplaçant qui a du mal a bouger son vis-à-vis. Dudu touche du bois. Mi-temps, pas de but, mais on est bien. Je rentre toujours pas, je ronge mon frein. A une demi-heure de la fin, me voilà enfin sur le terrain, latéral gauche pour une fois ! Que de nouveautés ! Sur un coup-franc au milieu de terrain, je demande la balle rapidement et la mets dans le paquet. Un peu trop loin. Mais elle est récupérée et un nouveau centre revient sur Dudu, encore lui, qui marque. Je termine la rencontre stoppeur, avec deux fautes commises et une subie à mon actif. Content d'avoir gagné, mais frustré d'avoir si peu joué. J'ai promis à Mehdi que j'étais pas encore à la retraite.
Ma chérie et moi partons ensuite manger avec des amis puis direction cinéma pour OSS 117 avec Jean Dujardin. Divertissant, truffé de références comme Robin des Bois (avec Errol Flyn hein, pas Costner), Sueurs froides et James Sean Connery Bond évidemment.
Bonne semaine à tous
Match à Romans dimanche 19 avril
Vacances obligent, les jeunes moins de 16 sont restés au repos ce week-end laissant place aux trois équipes séniors pour des résultats identiques à chaque semaine et qui restent problématiques et inquiétants pour la saison prochaine. Samedi 18h30 la réserve voultaine rentre sur le parquet pleine de bonnes intentions face à une équipe Dioise qu'elle rencontre pour la quatrième fois de la saison!!!! Les bleus et blancs font résistance pendant une mi-temps puis s'écroulent, encore une fois les anciens ne laissant pas les jeunes s'exprimer et ratant des occasions immanquables. Score final: 25-27, à trois journées de la fin la relégation semble inévitable. Ensuite à 20h45, l'équipe une entre sur le parquet elle aussi avec plein de bonnes intentions, mais face aux quatrième du championnat de Nationale 3, les voultains ne résisteront pas longtemps avec un score final de 21-29, là aussi le maintien sera difficile à atteindre mais tout n'est pas encore perdu....
Dimanche l'équipe 3 de Rhone-Eyrieux se déplace à Romans pour un duel de milieu de classement,et une certaine revanche à prendre par rapport au match aller où nous n'avions pour ainsi dire pas jouer!!! Nous avons du mal à nous mettre en route surement dû au seul petit quart d'heure d'échauffement que nous avons eu!!! Rien de spécial à signaler en première période le match est serré, les équipes se rendent coup pour coup, mi-temps 13-12. En seconde période, le train bleu se met en route, solidaires et solides en défense, appliqués en attaque ainsi que rapides en contre attaque les romanais perdent du terrain et finissent par ce voir infliger une correction 32-17, avec seulement 5 buts marqués preuve de l'efficacité de la défense voultaine.
Pour ma part je finis meilleur marqueur du match avec 8 buts (sur 10 tirs) avec deux roucoulettes (une normale et une inversée, ne pas me redemander d'en faire une je sais pas comment j'ai fait, et une chabala), et 2 fois 2 minutes....
Bonne semaine
Erwan
lundi 20 avril 2009
Week end de Milian
Après être rentré de Savoie vendredi midi, je prévois d'aller à l'entrainement pour préparer le match du samedi. Mais mon entraineur m'appelle et me dit que l'on ne s'entraine pas pour protéger le terrain pour le match. Après le président du SCP m'appelle et me dit d'aller jouer avec les seniors le dimanche à Mirmande. Je me dis que ça va être bien d'essayer le niveau senior.
Samedi matin, mon entraineur m'appelle et me dit que finalement je joue avec mon équipe. Raison : problème de licence, je ne peux pas être surclassé. Tant pis, on verra ça plus tard. Je vais donc jouer au Ruissol avec mes coéquipiers. Nous jouons contre Aubenas 2, dernier du classement. On se méfie car on nous a annoncé que des joueurs de la une les avaient renforcés. Pas grave, on a l'intention de faire notre match à notre manière quelque soit l'adversaire. Je suis titulaire. Arrière droit comme d'habitude, un poste que je n'aimais pas trop au début mais que je commence à apprécier au fil des matchs. Dès le début du match, nous mettons la pression sur les visiteurs et notre numéro ? marque un joli but à l'entrée de la surface. 1-0.
Ce but nous met en confiance et on continue de jouer notre jeu. On fait bien tourner le ballon, on ne se précipite pas. On domine. Malgré tout, nous ne somme pas à l'abri, et nous allons nous faire peur plusieurs fois pendant les vingt premières minutes. Après nos attaquants ratent à plusieurs reprises l'immanquable. Je me dis que ça va faire comme la plupart de nos matchs, notre domination est stérile et on est pas à l'abri. Pour ma part, j'arrive à déborder à plusieurs reprises. C'est de cette façon là que j'aime ce poste, défendre et déborder en situation offensive. Mon vis à vis me donne du travail mais j'arrive tout de même à le contrer pendant 45 minutes. Mi-temps 1-0 en notre faveur. L'entraineur râle dans le vestiaire, il considère qu'on se met en danger tout seul, qu'on devrait déjà avoir tué le match. Tout le monde en est conscient. La deuxième mi-temps reprend. Au bout de deux minutes, je vois mon coéquipier totalement seul au centre, je lui envoie le ballon, celui-ci joue en pivot pour notre attaquant. 2-0. Nous pensons être à l'abri, mais on se souvient du dernier match, où nous menions 2-0 avant d'être rejoint dans les dernières minutes. Nous continuons donc notre travail, nous ne laissons pas l'adversaire avancer. Malgré tout, leur ailier arrive à me déborder, il centre pour son coéquipier seul, qui la met juste à coté. Ouf on a eu chaud. L'action qui suit, nous débordons sur le coté gauche et sur le centre le défenseur fait une main. Penalty. But plein axe 3-0. Nous continuons à presser et nous faisons deux poteaux. C'est à leur tour de toucher la barre transversale. Maintenant, nous gérons et évoluons en contre. Sur l'un d'eux, notre attaquant efface trois défenseurs avant de mettre le ballon en pleine lucarne. 4-0. Enfin, j'arrive à déborder une dernière fois, je centre mais mon coéquipier ne peut qu'effleurer le ballon, tant pis. Nous gagnons 4-0. Je pense que c'est notre match le plus accompli.
Samedi matin, mon entraineur m'appelle et me dit que finalement je joue avec mon équipe. Raison : problème de licence, je ne peux pas être surclassé. Tant pis, on verra ça plus tard. Je vais donc jouer au Ruissol avec mes coéquipiers. Nous jouons contre Aubenas 2, dernier du classement. On se méfie car on nous a annoncé que des joueurs de la une les avaient renforcés. Pas grave, on a l'intention de faire notre match à notre manière quelque soit l'adversaire. Je suis titulaire. Arrière droit comme d'habitude, un poste que je n'aimais pas trop au début mais que je commence à apprécier au fil des matchs. Dès le début du match, nous mettons la pression sur les visiteurs et notre numéro ? marque un joli but à l'entrée de la surface. 1-0.
Ce but nous met en confiance et on continue de jouer notre jeu. On fait bien tourner le ballon, on ne se précipite pas. On domine. Malgré tout, nous ne somme pas à l'abri, et nous allons nous faire peur plusieurs fois pendant les vingt premières minutes. Après nos attaquants ratent à plusieurs reprises l'immanquable. Je me dis que ça va faire comme la plupart de nos matchs, notre domination est stérile et on est pas à l'abri. Pour ma part, j'arrive à déborder à plusieurs reprises. C'est de cette façon là que j'aime ce poste, défendre et déborder en situation offensive. Mon vis à vis me donne du travail mais j'arrive tout de même à le contrer pendant 45 minutes. Mi-temps 1-0 en notre faveur. L'entraineur râle dans le vestiaire, il considère qu'on se met en danger tout seul, qu'on devrait déjà avoir tué le match. Tout le monde en est conscient. La deuxième mi-temps reprend. Au bout de deux minutes, je vois mon coéquipier totalement seul au centre, je lui envoie le ballon, celui-ci joue en pivot pour notre attaquant. 2-0. Nous pensons être à l'abri, mais on se souvient du dernier match, où nous menions 2-0 avant d'être rejoint dans les dernières minutes. Nous continuons donc notre travail, nous ne laissons pas l'adversaire avancer. Malgré tout, leur ailier arrive à me déborder, il centre pour son coéquipier seul, qui la met juste à coté. Ouf on a eu chaud. L'action qui suit, nous débordons sur le coté gauche et sur le centre le défenseur fait une main. Penalty. But plein axe 3-0. Nous continuons à presser et nous faisons deux poteaux. C'est à leur tour de toucher la barre transversale. Maintenant, nous gérons et évoluons en contre. Sur l'un d'eux, notre attaquant efface trois défenseurs avant de mettre le ballon en pleine lucarne. 4-0. Enfin, j'arrive à déborder une dernière fois, je centre mais mon coéquipier ne peut qu'effleurer le ballon, tant pis. Nous gagnons 4-0. Je pense que c'est notre match le plus accompli.
Marathon d'Annecy
8h30, c'est parti. Me voilà embarqué dans une aventure dont je disais il y a encore un an qu'elle n'était pas pour moi. Nous sommes environ 1800 sur la ligne de départ, 1800 hommes et femmes à vouloir "se" défier.
Je me suis placé au niveau du ballon "3h30", en me disant que si ça va trop vite, il sera toujours temps de me rabattre sur le "3h45". Un petit tour dans Annecy, on traverse le parc et on attaque la piste cyclable. Il fait frais, le temps est maussade, mais les spectateurs sont là et les encouragements fusent.
Je me sens bien, et ma course est fluide. Nous suivons le lac puis nous en écartons. Nous passons le petit tunnel de l'ancienne voie ferrée, de légères montées en légères descentes, les kilomètres s'accumulent. Au 18ème, la moto de tête déboule, suivie par trois magnifiques coureurs, l'air tellement facile! Nous les applaudissons au passage, c'est tellement impressionnant...
Nous arrivons au bout, grande boucle dans le village, passage au 21éme en 1h45. Quasiment le même temps qu'au semi de Chambéry!!!(1h42). Et puis...22ème, j'entre en enfer. Je ne sais pas ce qui se passe: plus de jambes, ou plutôt trop de douleurs dans les jambes, je vois mon groupe de référence partir, s'éloigner, et je suis incapable de le suivre. Plus de jambes, mais surtout, brutalement, plus de mental. Carrément en dessous de zéro. Peut-on encore appeler "courir" ce que j'arrive à faire faire à mes jambes? Le marathon? Plus jamais!!! L'abandon? Pourquoi pas? Allez, il n'y a plus rien, que la souffrance! Pourquoi continuer? Et bien oui, pourquoi continue-t-on? Je n'ai pas la réponse, mais j'ai continué. Merci aux spectateurs qui encouragent, merci aux quartiers d'oranges qui redonnent -petit à petit- un peu de tonus. Merci à "?" -j'ai oublié ton prénom, excuse moi- qui d'un coup de main sur l'épaule et d'un encouragemnt "Allez Errances (mon pseudo sur le forum de Pelloche) ça va aller!!!" m'a fait plus de bien que tout les reste, et mercià Stéphanie d'avoir décidée d'être à l'arrivée, parce que j'ai décidé à ce moment-là que c'est en coureur que tu me verras arriver, et non pas en "victime".
L'enfer fait 12 kms. Il paraît que le mur du marathon est aux environ de 33, moi je l'ai tapé aux 23, et je l'ai tapé jusqu'au 35. Et il a cédé. Oh, je ne dirai pas que les 7 derniers kms ont été une partie de plaisir! Mais le mental, à défaut des jambes, était revenu. Alors, plutôt que 36 kms, c'était: n'en reste que 6. Plutôt que 37, n'en reste que 5. Etc...etc...
La petite descente sur Annecy, le passage sur le port, détour dans les jardins, encouragements -merci aux Kikous du pont!- il ne reste que 500 mètres. Et la volonté de se présenter en coureur, je me redresse, la foulée s'allonge -comment je fais? Ah si je savais!!!- et je sprinte! Je vous assure...Je ne vois plus que l'arrivée, et dans les dix derniers mètres, mon fils Titouan qui court avec moi.
ça y est je l'ai fait!!! Et je sais déjà qu'il y en aura d'autres. C'est trop beau!! Je serre mon fils dans mes bras. Et puis j'entends ma femme m'appeler. Ah! Une épaule aimée sur laquelle s'appuyer quelques instants, désemparé, et y puiser le meilleur des réconforts. Ensuite...ensuite, elle me massera longuement les cuisses, si dures et si douloureuses. Nous pique-niquerons sur les bords du lac, et puis nous rentrerons. Nous rejoignons le reste de la famille, et je raconte. Besoin de l'extirper de soi, mais en même temps ne pas tout dire. Il y a des sentiments qui font partie du jardin secret, et que l'on garde pour soi. Entre autres choses, parce que ces autres ne courent pas et ne pourraient pas comprendre.
Et le soir, quand ma femme, me prenant la tête entre ses mains, me regarde dans les yeux, et me dit:
"Je suis fière de toi, mon marathonien"
Je sais pourquoi je cours...
Je me suis placé au niveau du ballon "3h30", en me disant que si ça va trop vite, il sera toujours temps de me rabattre sur le "3h45". Un petit tour dans Annecy, on traverse le parc et on attaque la piste cyclable. Il fait frais, le temps est maussade, mais les spectateurs sont là et les encouragements fusent.
Je me sens bien, et ma course est fluide. Nous suivons le lac puis nous en écartons. Nous passons le petit tunnel de l'ancienne voie ferrée, de légères montées en légères descentes, les kilomètres s'accumulent. Au 18ème, la moto de tête déboule, suivie par trois magnifiques coureurs, l'air tellement facile! Nous les applaudissons au passage, c'est tellement impressionnant...
Nous arrivons au bout, grande boucle dans le village, passage au 21éme en 1h45. Quasiment le même temps qu'au semi de Chambéry!!!(1h42). Et puis...22ème, j'entre en enfer. Je ne sais pas ce qui se passe: plus de jambes, ou plutôt trop de douleurs dans les jambes, je vois mon groupe de référence partir, s'éloigner, et je suis incapable de le suivre. Plus de jambes, mais surtout, brutalement, plus de mental. Carrément en dessous de zéro. Peut-on encore appeler "courir" ce que j'arrive à faire faire à mes jambes? Le marathon? Plus jamais!!! L'abandon? Pourquoi pas? Allez, il n'y a plus rien, que la souffrance! Pourquoi continuer? Et bien oui, pourquoi continue-t-on? Je n'ai pas la réponse, mais j'ai continué. Merci aux spectateurs qui encouragent, merci aux quartiers d'oranges qui redonnent -petit à petit- un peu de tonus. Merci à "?" -j'ai oublié ton prénom, excuse moi- qui d'un coup de main sur l'épaule et d'un encouragemnt "Allez Errances (mon pseudo sur le forum de Pelloche) ça va aller!!!" m'a fait plus de bien que tout les reste, et mercià Stéphanie d'avoir décidée d'être à l'arrivée, parce que j'ai décidé à ce moment-là que c'est en coureur que tu me verras arriver, et non pas en "victime".
L'enfer fait 12 kms. Il paraît que le mur du marathon est aux environ de 33, moi je l'ai tapé aux 23, et je l'ai tapé jusqu'au 35. Et il a cédé. Oh, je ne dirai pas que les 7 derniers kms ont été une partie de plaisir! Mais le mental, à défaut des jambes, était revenu. Alors, plutôt que 36 kms, c'était: n'en reste que 6. Plutôt que 37, n'en reste que 5. Etc...etc...
La petite descente sur Annecy, le passage sur le port, détour dans les jardins, encouragements -merci aux Kikous du pont!- il ne reste que 500 mètres. Et la volonté de se présenter en coureur, je me redresse, la foulée s'allonge -comment je fais? Ah si je savais!!!- et je sprinte! Je vous assure...Je ne vois plus que l'arrivée, et dans les dix derniers mètres, mon fils Titouan qui court avec moi.
ça y est je l'ai fait!!! Et je sais déjà qu'il y en aura d'autres. C'est trop beau!! Je serre mon fils dans mes bras. Et puis j'entends ma femme m'appeler. Ah! Une épaule aimée sur laquelle s'appuyer quelques instants, désemparé, et y puiser le meilleur des réconforts. Ensuite...ensuite, elle me massera longuement les cuisses, si dures et si douloureuses. Nous pique-niquerons sur les bords du lac, et puis nous rentrerons. Nous rejoignons le reste de la famille, et je raconte. Besoin de l'extirper de soi, mais en même temps ne pas tout dire. Il y a des sentiments qui font partie du jardin secret, et que l'on garde pour soi. Entre autres choses, parce que ces autres ne courent pas et ne pourraient pas comprendre.
Et le soir, quand ma femme, me prenant la tête entre ses mains, me regarde dans les yeux, et me dit:
"Je suis fière de toi, mon marathonien"
Je sais pourquoi je cours...
Marathon d'Annecy
8h30, c'est parti. Me voilà embarqué dans une aventure dont je disais il y a encore un an qu'elle n'était pas pour moi. Nous sommes environ 1800 sur la ligne de départ, 1800 hommes et femmes à vouloir "se" défier.
Je me suis placé au niveau du ballon "3h30", en me disant que si ça va trop vite, il sera toujours temps de me rabattre sur le "3h45". Un petit tour dans Annecy, on traverse le parc et on attaque la piste cyclable. Il fait frais, le temps est maussade, mais les spectateurs sont là et les encouragements fusent.
Je me sens bien, et ma course est fluide. Nous suivons le lac puis nous en écartons. Nous passons le petit tunnel de l'ancienne voie ferrée, de légères montées en légères descentes, les kilomètres s'accumulent. Au 18ème, la moto de tête déboule, suivie par trois magnifiques coureurs, l'air tellement facile! Nous les applaudissons au passage, c'est tellement impressionnant...
Nous arrivons au bout, grande boucle dans le village, passage au 21éme en 1h45. Quasiment le même temps qu'au semi de Chambéry!!!(1h42). Et puis...22ème, j'entre en enfer. Je ne sais pas ce qui se passe: plus de jambes, ou plutôt trop de douleurs dans les jambes, je vois mon groupe de référence partir, s'éloigner, et je suis incapable de le suivre. Plus de jambes, mais surtout, brutalement, plus de mental. Carrément en dessous de zéro. Peut-on encore appeler "courir" ce que j'arrive à faire faire à mes jambes? Le marathon? Plus jamais!!! L'abandon? Pourquoi pas? Allez, il n'y a plus rien, que la souffrance! Pourquoi continuer? Et bien oui, pourquoi continue-t-on? Je n'ai pas la réponse, mais j'ai continué. Merci aux spectateurs qui encouragent, merci aux quartiers d'oranges qui redonnent -petit à petit- un peu de tonus. Merci à "?" -j'ai oublié ton prénom, excuse moi- qui d'un coup de main sur l'épaule et d'un encouragemnt "Allez Errances (mon pseudo sur le forum de Pelloche) ça va aller!!!" m'a fait plus de bien que tout les reste, et mercià Stéphanie d'avoir décidée d'être à l'arrivée, parce que j'ai décidé à ce moment-là que c'est en coureur que tu me verras arriver, et non pas en "victime".
L'enfer fait 12 kms. Il paraît que le mur du marathon est aux environ de 33, moi je l'ai tapé aux 23, et je l'ai tapé jusqu'au 35. Et il a cédé. Oh, je ne dirai pas que les 7 derniers kms ont été une partie de plaisir! Mais le mental, à défaut des jambes, était revenu. Alors, plutôt que 36 kms, c'était: n'en reste que 6. Plutôt que 37, n'en reste que 5. Etc...etc...
La petite descente sur Annecy, le passage sur le port, détour dans les jardins, encouragements -merci aux Kikous du pont!- il ne reste que 500 mètres. Et la volonté de se présenter en coureur, je me redresse, la foulée s'allonge -comment je fais? Ah si je savais!!!- et je sprinte! Je vous assure...Je ne vois plus que l'arrivée, et dans les dix derniers mètres, mon fils Titouan qui court avec moi.
ça y est je l'ai fait!!! Et je sais déjà qu'il y en aura d'autres. C'est trop beau!! Je serre mon fils dans mes bras. Et puis j'entends ma femme m'appeler. Ah! Une épaule aimée sur laquelle s'appuyer quelques instants, désemparé, et y puiser le meilleur des réconforts. Ensuite...ensuite, elle me massera longuement les cuisses, si dures et si douloureuses. Nous pique-niquerons sur les bords du lac, et puis nous rentrerons. Nous rejoignons le reste de la famille, et je raconte. Besoin de l'extirper de soi, mais en même temps ne pas tout dire. Il y a des sentiments qui font partie du jardin secret, et que l'on garde pour soi. Entre autres choses, parce que ces autres ne courent pas et ne pourraient pas comprendre.
Et le soir, quand ma femme, me prenant la tête entre ses mains, me regarde dans les yeux, et me dit:
"Je suis fière de toi, mon marathonien"
Je sais pourquoi je cours...
Je me suis placé au niveau du ballon "3h30", en me disant que si ça va trop vite, il sera toujours temps de me rabattre sur le "3h45". Un petit tour dans Annecy, on traverse le parc et on attaque la piste cyclable. Il fait frais, le temps est maussade, mais les spectateurs sont là et les encouragements fusent.
Je me sens bien, et ma course est fluide. Nous suivons le lac puis nous en écartons. Nous passons le petit tunnel de l'ancienne voie ferrée, de légères montées en légères descentes, les kilomètres s'accumulent. Au 18ème, la moto de tête déboule, suivie par trois magnifiques coureurs, l'air tellement facile! Nous les applaudissons au passage, c'est tellement impressionnant...
Nous arrivons au bout, grande boucle dans le village, passage au 21éme en 1h45. Quasiment le même temps qu'au semi de Chambéry!!!(1h42). Et puis...22ème, j'entre en enfer. Je ne sais pas ce qui se passe: plus de jambes, ou plutôt trop de douleurs dans les jambes, je vois mon groupe de référence partir, s'éloigner, et je suis incapable de le suivre. Plus de jambes, mais surtout, brutalement, plus de mental. Carrément en dessous de zéro. Peut-on encore appeler "courir" ce que j'arrive à faire faire à mes jambes? Le marathon? Plus jamais!!! L'abandon? Pourquoi pas? Allez, il n'y a plus rien, que la souffrance! Pourquoi continuer? Et bien oui, pourquoi continue-t-on? Je n'ai pas la réponse, mais j'ai continué. Merci aux spectateurs qui encouragent, merci aux quartiers d'oranges qui redonnent -petit à petit- un peu de tonus. Merci à "?" -j'ai oublié ton prénom, excuse moi- qui d'un coup de main sur l'épaule et d'un encouragemnt "Allez Errances (mon pseudo sur le forum de Pelloche) ça va aller!!!" m'a fait plus de bien que tout les reste, et mercià Stéphanie d'avoir décidée d'être à l'arrivée, parce que j'ai décidé à ce moment-là que c'est en coureur que tu me verras arriver, et non pas en "victime".
L'enfer fait 12 kms. Il paraît que le mur du marathon est aux environ de 33, moi je l'ai tapé aux 23, et je l'ai tapé jusqu'au 35. Et il a cédé. Oh, je ne dirai pas que les 7 derniers kms ont été une partie de plaisir! Mais le mental, à défaut des jambes, était revenu. Alors, plutôt que 36 kms, c'était: n'en reste que 6. Plutôt que 37, n'en reste que 5. Etc...etc...
La petite descente sur Annecy, le passage sur le port, détour dans les jardins, encouragements -merci aux Kikous du pont!- il ne reste que 500 mètres. Et la volonté de se présenter en coureur, je me redresse, la foulée s'allonge -comment je fais? Ah si je savais!!!- et je sprinte! Je vous assure...Je ne vois plus que l'arrivée, et dans les dix derniers mètres, mon fils Titouan qui court avec moi.
ça y est je l'ai fait!!! Et je sais déjà qu'il y en aura d'autres. C'est trop beau!! Je serre mon fils dans mes bras. Et puis j'entends ma femme m'appeler. Ah! Une épaule aimée sur laquelle s'appuyer quelques instants, désemparé, et y puiser le meilleur des réconforts. Ensuite...ensuite, elle me massera longuement les cuisses, si dures et si douloureuses. Nous pique-niquerons sur les bords du lac, et puis nous rentrerons. Nous rejoignons le reste de la famille, et je raconte. Besoin de l'extirper de soi, mais en même temps ne pas tout dire. Il y a des sentiments qui font partie du jardin secret, et que l'on garde pour soi. Entre autres choses, parce que ces autres ne courent pas et ne pourraient pas comprendre.
Et le soir, quand ma femme, me prenant la tête entre ses mains, me regarde dans les yeux, et me dit:
"Je suis fière de toi, mon marathonien"
Je sais pourquoi je cours...
mercredi 15 avril 2009
Semaine pré-marathon
Dimanche, le marathon d'Annecy.
Depuis une semaine, je me traîne une "crève" pas possible. Un rhume qui refuse de passer -2 paquets de mouchoirs par jour- et une toux irritative éprouvante. Hier matin, médecin, je suis sous corticoïde, ce matin ça va déjà mieux.
Je maintiens quand même la forme doucement. Lundi, sortie familiale en vélo, le petit bonhomme dans sa remorque. On ne va pas très loin -on a du faire une quinzaine de kilomètres- mais avec les 10 kgs de la remorque et les 20 du bonhomme!!!!
L'après-midi, une sortie marche à la montagne.
Mardi, rien de spécial, j'ai passé toute la matinée chez le médecin.
Aujourd'hui, sortie de 6 kms et demi en 31 mns, sans forcer.
Demain ,sans doute rien, et vendredi une dernière sortie tranquille. Psychologiquement, le marathon commence à s'imposer dans la tête. Difficile de ne pas y penser, je ne sais pas si c'est bon ou mauvais. En tout cas je dors bien.
Question alimentation, ma chère et tendre s'occupe de moi. Je suis un régime qui devrait me mettre en pleine forme.
Mon seul regret: être obligé de me lever si tôt dimanche matin...
Depuis une semaine, je me traîne une "crève" pas possible. Un rhume qui refuse de passer -2 paquets de mouchoirs par jour- et une toux irritative éprouvante. Hier matin, médecin, je suis sous corticoïde, ce matin ça va déjà mieux.
Je maintiens quand même la forme doucement. Lundi, sortie familiale en vélo, le petit bonhomme dans sa remorque. On ne va pas très loin -on a du faire une quinzaine de kilomètres- mais avec les 10 kgs de la remorque et les 20 du bonhomme!!!!
L'après-midi, une sortie marche à la montagne.
Mardi, rien de spécial, j'ai passé toute la matinée chez le médecin.
Aujourd'hui, sortie de 6 kms et demi en 31 mns, sans forcer.
Demain ,sans doute rien, et vendredi une dernière sortie tranquille. Psychologiquement, le marathon commence à s'imposer dans la tête. Difficile de ne pas y penser, je ne sais pas si c'est bon ou mauvais. En tout cas je dors bien.
Question alimentation, ma chère et tendre s'occupe de moi. Je suis un régime qui devrait me mettre en pleine forme.
Mon seul regret: être obligé de me lever si tôt dimanche matin...
mardi 14 avril 2009
Pâques
Dimanche, chasse aux œufs dans la cour et le jardin. Les cousines de Paris sont là, Marie Noëlle, Christelle, les frères de Titouan, Blandine, Stéphanie, Titouan et moi.
Rires, cris de joie, c'est la fête...
Rires, cris de joie, c'est la fête...
jeudi 9 avril 2009
Week end de Pâques
Ce dimanche, toutes les cousines seront là. Les parisiens arrivent samedi midi, et les Simon viennent déjeuner dimanche chez André et marie Noëlle, donc Titouan va toutes les revoir. Ses frères seront tous là aussi, ainsi que Blandine -si vous êtes perdus, je vous renvoie à l'article "généalogie!!!Gwenaël, Blandine et Milian arrivent samedi midi, Erwan, retenu par le boulot, n'arrivera qu'en fin de journée.
Dimanche matin, donc, chasse aux œufs. Dans le jardin et la cour si le temps le permet. Sinon à l'intérieur...
Photos et vidéos la semaine prochaine sur ce blog.
Bon week-end pascal à vous tous.
Dimanche matin, donc, chasse aux œufs. Dans le jardin et la cour si le temps le permet. Sinon à l'intérieur...
Photos et vidéos la semaine prochaine sur ce blog.
Bon week-end pascal à vous tous.
mardi 7 avril 2009
Boulot et week-end de pâques
Bonne nouvelle j'ai un entretien avec le nouveau patron d'Intermarché demain dans la matinée, à moi de placer mes billes pour obtenir un poste de façon définitive...
Pour ce week end par contre rien ne change ou presque je viens toujours bien sûr mais je travaille samedi après-midi jusqu'à 15h30 donc départ de suite après le boulot.
Bisous à vous et à samedi.
Erwan
Week end du 4 et 5 avril
Bonjour,
Nous voilà parti pour un week end handballistique chargé, au menu match en tant qu'entraîneur des -16 ans à Meylan (38), puis en tant que joueur à Saint-Donat pour le samedi et le dimanche formation d'entraîneur à Valence puis Romans!!!
Donc mes petits protégés jouaient à 14h30, à Meylan (dans le cadre des finales croisées mises en place par la Ligue afin de combler le manque de match entre la fin du championnat et les brassages de fin d'année pour la Ligue), dernier de la deuxième poule de la Ligue, départ 10h30. Nous partons avec un effectif de 9 joueurs dû à quelques blessures et au fait qu'il manquait des joueurs pour les -18 ans. Arrivée à Meylan à 13h15, après un arrêt de trois quart d'heures pour manger, le match commence sans table de marque (merci la mairie de Meylan très bien organisée). Les jeunes rentrent très bien dans le match, sont solidaires tant en défense qu'en attaque mi-temps 13-4. Je calme les petits voultains qui commencent à se voir tout beau vainqueurs alors qu'ils restent encore 25 minutes à jouer, surtout que la deuxième mi-temps est différente les locaux se réveillent et reviennent dans la partie, mais les jeunes cadres de l'équipe ainsi qu'un moins de 14 prennent leurs responsabilités et nous permettent de finir le match sans souci avec un cinglant 25-14. A noter l'agressivité, des jeunes meylanais qui auraient du finir le match avec un carton suite à l'agression d'un ailier voultain qui pendant qu'il sautait en direction du but s'est vu infliger un coup de pied volontaire dans la cheville qui la fait se retourner, heureusement plus de peur que de mal le jeune est sorti boitillant...
Retour à La Voulte à 17h30, départ pour Saint-Donat à 17h45, avec l'équipe 3 composée de 8 joueurs, je débute la partie en tant que pivot, on démarre mal le match: 1-8 au bout de 15 minutes de jeu avec pour ne rien arranger un carton rouge direct très sévère (mais bien expliqué par l'arbitre). Je suis repositionné en demi centre et le jeu reprend les adversaires au complet nous font courir mais se précipitent dans la finition et perdent des ballons que nous exploitons en contre attaque, mi-temps 11-12. La deuxième mi-temps s'annonce difficile avec deux de nos joueurs sous le coup d'un troisième 2 minutes, nous devenons vraiment très solidaires en défense et efficaces en attaque. Les Donatiens s'énervent et perdent le contrôle du match quand à 10 minutes de la fin du match nous passons en tête à 19-18. Fin de match engagée mais correct des 2 cotés un allier droit voultain très efficace en contre attaque, et nous remportons le match sur un 25-20 peu flatteur pour les locaux.
Mes stats: 4/6 dont 2 buts marqués d'une telle façon que cela faisait longtemps (voir même jamais) que j'en avais pas mis des comme ça.
Personnellement je me sens très en forme physiquement, et très heureux de pouvoir m'exprimer en demi-centre dans cette équipe.
Pour le dimanche ma formation sur Valence et Romans s'est bien passée.
Heureusement après ce week end marathon j'ai pu me reposer lundi car mon chef m'avait mis de repos...
Erwan
lundi 6 avril 2009
Week end beau, ensoleillé et sportif
Samedi après-midi, sortie familiale. Nous avons emmené les vélos de Stéphanie et Titouan et mes rollers à Chambéry. Départ de Buisson Rond sur la piste cyclable. Nous essayons d'inculquer les règles de circulation au bonhomme mais c'est pas gagné!!! belle balade. Au retour, on s'arrête au parc et on joue au bord de la rivière.
Dimanche matin, la météo était très bonne, donc j'ai décidé une grande sortie vélo.
Départ à 7h15, direction Chambéry. Traversée de la ville -c'est le moins drôle!!!- et direction Aix par la piste cyclable. Après Aix, Brison puis le long du lac. Pas de circulation, pas de cyclistes non plus -il est trop tôt pour la majorité d'entre eux. Magnifique point de vue sur l'abbaye de Hautecombe.
Arrivée au bout du lac, en Chautagne. Je traverse Conjux, et je m'arrête à la sortie du village, pour manger une barre en prévision de la montée qui m'attend.
j'attaque la montée. Un peu dur -c'est quand même le début de saison en vélo!!!- et j'arrive à St Pierre de Curtille. A nouveau du plat, et puis il faut bien attaquer la montée au col du Chat. Très dur par moments, je m'arrête 2 kms avant le col pour manger à nouveau. Le plus dur est fait et j'arrive au col.
Descente sur Le Bourget, je reprends la piste cyclable. Il n'y avait personne tout à l'heure mais alors maintenant!!! Finie la vitesse. Il faut même être sacrément prudent, il y a des cyclistes, des rollers, des enfants, des poussettes, des piétons!!!
Traversée de Chambéry. A Buisson Rond je passe un coup de fil à la maison pour prévenir de mon arrivée prochaine. A 12h25, je suis rentré. Une bonne douche et un bon repas en terrasse, tout est bien...
Bilan: 110 kms, 4h 45 mns, 23 kms de moyenne. Pour une première grosse sortie, cela s'est plutôt bien passé. L'ascension du col est ce qui a été le plus difficile, mais c'est normal en début de saison. Cela augure bien de la suite.
Dimanche après-midi, on repart en voiture sur ma sortie de ce matin parce que j'ai repéré un endroit magnifique où se promener. On pose la voiture et nous voilà parti. Une demi heure de marche et on arrive à une petite chapelle posée sur un promontoire sur le GR du chemin de Compostelle. Le panorama sur la vallée du Rhône est superbe. On profite, Titou joue un moment puis on repart. En chemin on déterre un plant de primevères qu'on va repiquer à la maison. On reprend la voiture, on descend à Conjux, et on prend le goûter sur les bords du lac. Quant Titou a fini de jouer on rentre à la maison.
Super week end!!!
Dimanche matin, la météo était très bonne, donc j'ai décidé une grande sortie vélo.
Départ à 7h15, direction Chambéry. Traversée de la ville -c'est le moins drôle!!!- et direction Aix par la piste cyclable. Après Aix, Brison puis le long du lac. Pas de circulation, pas de cyclistes non plus -il est trop tôt pour la majorité d'entre eux. Magnifique point de vue sur l'abbaye de Hautecombe.
Arrivée au bout du lac, en Chautagne. Je traverse Conjux, et je m'arrête à la sortie du village, pour manger une barre en prévision de la montée qui m'attend.
j'attaque la montée. Un peu dur -c'est quand même le début de saison en vélo!!!- et j'arrive à St Pierre de Curtille. A nouveau du plat, et puis il faut bien attaquer la montée au col du Chat. Très dur par moments, je m'arrête 2 kms avant le col pour manger à nouveau. Le plus dur est fait et j'arrive au col.
Descente sur Le Bourget, je reprends la piste cyclable. Il n'y avait personne tout à l'heure mais alors maintenant!!! Finie la vitesse. Il faut même être sacrément prudent, il y a des cyclistes, des rollers, des enfants, des poussettes, des piétons!!!
Traversée de Chambéry. A Buisson Rond je passe un coup de fil à la maison pour prévenir de mon arrivée prochaine. A 12h25, je suis rentré. Une bonne douche et un bon repas en terrasse, tout est bien...
Bilan: 110 kms, 4h 45 mns, 23 kms de moyenne. Pour une première grosse sortie, cela s'est plutôt bien passé. L'ascension du col est ce qui a été le plus difficile, mais c'est normal en début de saison. Cela augure bien de la suite.
Dimanche après-midi, on repart en voiture sur ma sortie de ce matin parce que j'ai repéré un endroit magnifique où se promener. On pose la voiture et nous voilà parti. Une demi heure de marche et on arrive à une petite chapelle posée sur un promontoire sur le GR du chemin de Compostelle. Le panorama sur la vallée du Rhône est superbe. On profite, Titou joue un moment puis on repart. En chemin on déterre un plant de primevères qu'on va repiquer à la maison. On reprend la voiture, on descend à Conjux, et on prend le goûter sur les bords du lac. Quant Titou a fini de jouer on rentre à la maison.
Super week end!!!
Vélo
Dimanche matin, la météo était très bonne, donc j'ai décidé une grande sortie vélo.
Départ à 7h15, direction Chambéry. Traversée de la ville -c'est le moins drôle!!!- et direction Aix par la piste cyclable. Après Aix, Brison puis le long du lac. Pas de circulation, pas de cyclistes non plus -il est trop tôt pour la majorité d'entre eux. Magnifique point de vue sur l'abbaye de Hautecombe.
Arrivée au bout du lac, en Chautagne. Je traverse Conjux, et je m'arrête à la sortie du village, pour manger une barre en prévision de la montée qui m'attend.
j'attaque la montée. Un peu dur -c'est quand même le début de saison en vélo!!!- et j'arrive à St Pierre de Curtille. A nouveau du plat, et puis il faut bien attaquer la montée au col du Chat. Très dur par moments, je m'arrête 2 kms avant le col pour manger à nouveau. Le plus dur est fait et j'arrive au col.
Descente sur Le Bourget, je reprends la piste cyclable. Il n'y avait personne tout à l'heure mais alors maintenant!!! Finie la vitesse. Il faut même être sacrément prudent, il y a des cyclistes, des rollers, des enfants, des poussettes, des piétons!!!
Traversée de Chambéry. A Buisson Rond je passe un coup de fil à la maison pour prévenir de mon arrivée prochaine. A 12h25, je suis rentré. Une bonne douche et un bon repas en terrasse, tout est bien...
Bilan: 110 kms, 4h 45 mns, 23 kms de moyenne. Pour une première grosse sortie, cela s'est plutôt bien passé. L'ascension du col est ce qui a été le plus difficile, mais c'est normal en début de saison. Cela augure bien de la suite.
Départ à 7h15, direction Chambéry. Traversée de la ville -c'est le moins drôle!!!- et direction Aix par la piste cyclable. Après Aix, Brison puis le long du lac. Pas de circulation, pas de cyclistes non plus -il est trop tôt pour la majorité d'entre eux. Magnifique point de vue sur l'abbaye de Hautecombe.
Arrivée au bout du lac, en Chautagne. Je traverse Conjux, et je m'arrête à la sortie du village, pour manger une barre en prévision de la montée qui m'attend.
j'attaque la montée. Un peu dur -c'est quand même le début de saison en vélo!!!- et j'arrive à St Pierre de Curtille. A nouveau du plat, et puis il faut bien attaquer la montée au col du Chat. Très dur par moments, je m'arrête 2 kms avant le col pour manger à nouveau. Le plus dur est fait et j'arrive au col.
Descente sur Le Bourget, je reprends la piste cyclable. Il n'y avait personne tout à l'heure mais alors maintenant!!! Finie la vitesse. Il faut même être sacrément prudent, il y a des cyclistes, des rollers, des enfants, des poussettes, des piétons!!!
Traversée de Chambéry. A Buisson Rond je passe un coup de fil à la maison pour prévenir de mon arrivée prochaine. A 12h25, je suis rentré. Une bonne douche et un bon repas en terrasse, tout est bien...
Bilan: 110 kms, 4h 45 mns, 23 kms de moyenne. Pour une première grosse sortie, cela s'est plutôt bien passé. L'ascension du col est ce qui a été le plus difficile, mais c'est normal en début de saison. Cela augure bien de la suite.
vendredi 3 avril 2009
Entrainement
Ce mercredi, bel après-midi, mais je me sens encore un peu lourd du côté des cuisses alors je décide de faire une séance vélo.
Une balade de 50 kms. De prime abord, une sortie facile, avec juste une côte, et encore pas méchante. Mais c'était sans compter sans le vent. Au départ, je pars en direction de Grenoble, j'ai le vent de face, moyen, ça va. Mais en attaquant la côte de Barraux, ça se gâte, le vent souffle de plus en plus fort. Petite descente, et j'arrive au Touvet.
je traverse l'Isère en me disant que sur la rive gauche cela devrait aller mieux. Raté, le vent a tourné??? je l'ai à nouveau de face, seule différence, il souffle encore plus fort. Je remonte sur Pontcharra, je passe Laissaud et là j'entre dans la plaine qui sépare Laissaud et Montmélian. Déjà, en temps normal, il y a toujours un petit de vent, mais alors là!!!
Par moments, je suis obligé de me mettre en danseuse!!! J'en ai plein les pattes et la côte qui mène au centre de Montmélian finit de me fusiller les jambes.
Je rentre à la maison complètement mort, j'ai la sensation d'être dix fois plus fatigué qu'après le semi de dimanche.
Bilan: 50 bornes donc, en 2 heures. La moyenne est correcte vu le vent.
Une balade de 50 kms. De prime abord, une sortie facile, avec juste une côte, et encore pas méchante. Mais c'était sans compter sans le vent. Au départ, je pars en direction de Grenoble, j'ai le vent de face, moyen, ça va. Mais en attaquant la côte de Barraux, ça se gâte, le vent souffle de plus en plus fort. Petite descente, et j'arrive au Touvet.
je traverse l'Isère en me disant que sur la rive gauche cela devrait aller mieux. Raté, le vent a tourné??? je l'ai à nouveau de face, seule différence, il souffle encore plus fort. Je remonte sur Pontcharra, je passe Laissaud et là j'entre dans la plaine qui sépare Laissaud et Montmélian. Déjà, en temps normal, il y a toujours un petit de vent, mais alors là!!!
Par moments, je suis obligé de me mettre en danseuse!!! J'en ai plein les pattes et la côte qui mène au centre de Montmélian finit de me fusiller les jambes.
Je rentre à la maison complètement mort, j'ai la sensation d'être dix fois plus fatigué qu'après le semi de dimanche.
Bilan: 50 bornes donc, en 2 heures. La moyenne est correcte vu le vent.
Entrainement
Ce mercredi, bel après-midi, mais je me sens encore un peu lourd du côté des cuisses alors je décide de faire une séance vélo.
Une balade de 50 kms. De prime abord, une sortie facile, avec juste une côte, et encore pas méchante. Mais c'était sans compter sans le vent. Au départ, je pars en direction de Grenoble, j'ai le vent de face, moyen, ça va. Mais en attaquant la côte de Barraux, ça se gâte, le vent souffle de plus en plus fort. Petite descente, et j'arrive au Touvet.
je traverse l'Isère en me disant que sur la rive gauche cela devrait aller mieux. Raté, le vent a tourné??? je l'ai à nouveau de face, seule différence, il souffle encore plus fort. Je remonte sur Pontcharra, je passe Laissaud et là j'entre dans la plaine qui sépare Laissaud et Montmélian. Déjà, en temps normal, il y a toujours un petit de vent, mais alors là!!!
Par moments, je suis obligé de me mettre en danseuse!!! J'en ai plein les pattes et la côte qui mène au centre de Montmélian finit de me fusiller les jambes.
Je rentre à la maison complètement mort, j'ai la sensation d'être dix fois plus fatigué qu'après le semi de dimanche.
Bilan: 50 bornes donc, en 2 heures. La moyenne est correcte vu le vent.
Une balade de 50 kms. De prime abord, une sortie facile, avec juste une côte, et encore pas méchante. Mais c'était sans compter sans le vent. Au départ, je pars en direction de Grenoble, j'ai le vent de face, moyen, ça va. Mais en attaquant la côte de Barraux, ça se gâte, le vent souffle de plus en plus fort. Petite descente, et j'arrive au Touvet.
je traverse l'Isère en me disant que sur la rive gauche cela devrait aller mieux. Raté, le vent a tourné??? je l'ai à nouveau de face, seule différence, il souffle encore plus fort. Je remonte sur Pontcharra, je passe Laissaud et là j'entre dans la plaine qui sépare Laissaud et Montmélian. Déjà, en temps normal, il y a toujours un petit de vent, mais alors là!!!
Par moments, je suis obligé de me mettre en danseuse!!! J'en ai plein les pattes et la côte qui mène au centre de Montmélian finit de me fusiller les jambes.
Je rentre à la maison complètement mort, j'ai la sensation d'être dix fois plus fatigué qu'après le semi de dimanche.
Bilan: 50 bornes donc, en 2 heures. La moyenne est correcte vu le vent.
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